basta cosi !

basta cosi !

Basta Cosi, c’est toute la cuisine traditionnelle italienne avec une pointe de modernité, une carte élaborée à partir des meilleurs produits venus directement d’Italie, pâtes fraîches artisanales, charcuterie italienne DOP et IGP, viandes et poissons frais. La pâte à pizza est fabriquée sur place à partir de farines de haute qualité élaborées à base d’une large sélection de céréales, un protocole respectant l’art de la panification afin d’obtenir une pizza aussi délicieuse que digeste. Et… Basta cosi !

159 rte de Closon – Poisy – 04.56.19.00.99

c’est trop bête, je sais…

c’est trop bête, je sais…

Certaines, des poulettes bien roulées – robe panthère et taille de guêpe -, le cœur en friche, s’entichent de leur caniche : “Médor, j’adore !”. D’autres, les minets gominés ou toutous tatoués, jouent les velus dévolus à une Bécasse in, divine héroïne de leurs nuits enfantines.

Panda ce temps, Léo part au volant d’une jaguar aux chevaux débridés retrouver sa frêle gazelle sur un air de Fred Hamster.

Quant à Martin, pêcheur repenti, depuis qu’il carbure à la menthe religieuse, il est serin, et se récupère toutes les brebis égarées sur mille pattes à la ronde.

Étrange qu’aux jeux de l’amour et du hasard, y ait jamais de lézard qui remporte l’oscar !

Et pie, il y a les autres qui, comme ma sœur âne, ne voient rien venir. Bernard l’hermitte, un peu limite, lombric lubrique à ses heures perdues – toutes, en somme -, fait toujours le pied de grue. “Phoque alors !”

Tandis que Grizzly les petites annonces, d’autres petits poissons tournent héron, comme des hamsters sur une toile sans araignée, que Mi-tique vienne les sauver.

Barracuda, assuré tout risque (et il fait bien !), la coupe mulet du plus bel effet, ne renonce jamais. Notre goéland, rapide pour une fois, monté sur échasses, prend son élan et au taupe départ, les mains mouettes, met le turbot pour finir carbo. Devant ce pigeon qui n’a rien pigé, aux techniques de drague pathétiques, le chauve sourit… “Otarie bien qui rira le dernier ! Et des blattes toujours, si ça t’amuse ! Mais kan l’gourou m’aura bien briefé, ce sera chow-chow avec moi ! Tu verras…”

Et puis, il y a tous ces cochons, d’Inde ou d’ailleurs, qui se donnent rendez-vous le soir, dans les boas. La dernière fois, la virée des porcs – épique au début – a tourné en eau de boudin dans un toucan d’enfer : ils s’étaient gorets de direction, se sont perdrix et n’ont eu d’autres anchois que de rebrousser chemin faisan. D’autant que dans ce lieu noir, le croco deale sa dogue au camé Léon. Ça ne cerf acarien de jouer avec le feu.

Même les requins de la finance et autres rhinos féroces, – des blaireaux vrais ou faucons, qui se r’abeille à la fauvette quand les gendarmes débarquent par la fennec –, finissent invariablement colleys serrés comme des sardines dans le même panier de crabes. Les poulets veillent aux grains depuis que Mite too est passée par là ! C’est qu’on en a macaque à la fin !

Quant à moi, j’ai un peu le cafard… Alors oui, le lion est mort ce soir, ‹‹ Homard l’a tuer ››. Mais c’est pour un autre que mon cœur sang sue : mon partenaire ad duck, on était inséparables… Iguane à être connu, j’vous assure. Pour pieuvre : il a fait de moi une renne – bon ok, une rainette -, s’en flamant dans sa coccinelle rose.

Mon canard à m’oie a fait son taon… Le colvert face aux gilets jaunes, aux pangolins enragés et au chats russes, a pris du plomb dans l’aile, y a laissé toutes ses plumes. Et une meneuse de revue sans plume, ça a moins de chien tout de suite.

Au bar, zébu tout mon ver de roussette, sole avec mon bourdon : c’est que j’en suis dingo, moi, de mon cher eider ! Plus de 30 ans d’un amour confit, ça laisse tétras…

Mais ôtez-moi d’un bouc, l’histoire se termite bien ? Car si je ne ma buse, le phénix renait toujours de ses sandres, hein ?

maison d’hôtes : la ferme des vonezins, thônes

maison d’hôtes : la ferme des vonezins, thônes

L’HORS DU TEMPS

Comme une envie d’oublier la civilisation l’espace d’un week-end, de débrancher tout, de revenir à nous… L’adresse s’annonçait terriblement prometteuse : elle ne figure sur aucune carte ! Un chalet d’alpage au milieu de nulle part, et pour s’y rendre une petite route qui s’échappe de la vallée de Thônes, se fait la belle dans la montagne, et s’évapore dans un virage. Le reste de l’aventure, c’est sur nos 2 pieds qu’il faudra la chercher…

« Dis chéri, on fait une pause pour que je prenne quelques photos ?
– Mais lapin, on s’est déjà arrêté il y a 50
mètres pour en faire…
– Oui, mais c’est tellement beau avec ce soleil couchant…
– En vrai, tu veux reprendre ton souffle, c’est ça ?”
Bon, on ne va pas se mentir, dès qu’il faut grimper un peu, je ressemble à un vieux solex sous gitane maïs : je fais beaucoup de bruit, je n’avance pas vite et faut me pousser tout le long ! Alors 700 mètres de pente raide, me voilà red cramoisie arrivée en haut, avec de quoi réaliser 12 albums photos sur mon téléphone et bientôt plus de batterie. Quant à mon homme, il est frais comme un gardon… Promenade de santé pour lui, on n’est pas tous égaux devant les forts !
700 mètres de grimpette : c’est notre plus grande force et notre plus gros problème…”, reconnait Philippe, le maitre des lieux. “L’avantage du chalet, c’est qu’il est en pleine montagne, loin de tout, dépaysement total, tranquillité absolue et moment hors du temps garanti. Mais il y a toujours des personnes qui ne veulent ou ne peuvent monter, alors on fait des navettes, en moto neige en hiver, en 4X4 l’été. Mais Les Vônezins, ça se mérite !

©Lara Ketterer

PLUS DE REPÈRE DANS CE REPAIRE !

Pas peu fière de mon exploit sans assistance, ni voiture balai (à chacun son Everest !), je peux apprécier une nouvelle fois le cadre d’un peu plus haut. Les Aravis à 360°, pas une habitation à l’horizon, le chalet des Vônezins semble déconnecté de la société, coupé du temps, de tout, du blanc partout qui rougit de ce soleil en chemise de nuit, un étang givré à nos pieds, une parenthèse enchantée dans ce monde qui ne tourne plus bien rond ces derniers temps.
Onyx, un Saint-Bernard, bonne patte, nous souhaite la bienvenue… Pas de tonneau autour du cou, pour le remontant, faudra pousser la porte ! Nul besoin de me le répéter 2 fois… La nuit tombante, on se laisse guider par la lumière filtrant des fenêtres de ce vieux chalet qui semble avoir mille histoires à nous confier au coin du feu… Sitôt le seuil franchi –tête baissée pour ne pas perdre quelques centimètres au passage, rituel à renouveler à chaque franchissement de pièce : le Savoyard est blagueur !–, c’est en effet l’âtre crépitant qui nous attend tout en fumant les jambons et saucissons pendus quelques mètres plus haut : le Savoyard ne perd pas le nord !
Et des histoires, ces poutres datant de 1632, pour les plus anciennes, pourraient en raconter à foison… Par pudeur, elles en tairont certaines, mais se feront plus disertes sur d’autres. Ainsi, apprendrons-nous que le chalet prit sa forme actuelle en 1787. Pendant 2 siècles, il n’abrita que vaches, cochons, chèvres et moutons. La famille de Philippe, installée à Annecy, et possédant un chalet en contrebas pour les week-ends et vacances au grand air au milieu des bêtes, en fera l’acquisition en 1989, pour le bonheur de Philippe, devenu grand. Enfin, façon de parler : lui passe les portes sans courber l’échine, ce chalet semble définitivement taillé pour lui.

L’ÂME DE FONDS

Un goût du contact très prononcé, un sens de la déco particulièrement aiguisé, et un vieux mazot, ou plus exactement une ruine à retaper, l’histoire est amorcée. De résidence secondaire, elle deviendra principale, puis bientôt maison d’hôtes quand la famille cèdera ses boutiques en ville à l’aube des années 2000. Pour Philippe, la reconversion est toute trouvée !
Mais avant, il lui faudra une bonne dizaine d’années pour lui redonner corps, des fondations au toit, retrouver une âme oubliée sous un tas de bois, et offrir tout le confort rêvé, jusqu’à la piscine intérieure à contre-courant : il faut bien entretenir son corps d’athlète ! Puis encore une volée pour l’agrandir de 200 m2, avec cuisine professionnelle pour créer un restaurant, des chambres d’hôtes dont l’une recouvre maintenant la piscine –Philippe capitalisera désormais sur ses acquis !– dans la ferme et ses mazots en dépendances.
En tout, ce sont désormais 500 m2 de coins et recoins, de poutres et portes traitres, de meubles séculaires et de curiosités échappées d’une autre vie. “C’est un virus familial ! Mon arrière- grand-père genevois était un grand chineur. Il a d’ailleurs mangé toute sa fortune dans la chine et la brocante. Une catastrophe ! Papi l’était également, alors que Mamie pestait contre toutes les «saloperies dégoutantes» qu’il rapportait à la maison. Maman était piquée aussi. Quant à moi, je suis le seul des quatre enfants à être mordu de chine, toujours à l’affut. C’est mon côté Saint-Bernard, j’adore sauver les choses, de même que les chiens, les chevaux, les animaux en général… Ça a commencé avec les meubles et les objets, à ne plus savoir où les mettre. Je m’interdis maintenant d’aller à la déchetterie de Thônes. Je repars toujours de là-bas la voiture plus chargée qu’à l’aller ! Les gens jettent tout aujourd’hui : des jolis meubles à la benne au profit de 3 planches suédoises, montées avec un peu de scotch et 2 vis ! Très peu pour moi ! Je ne suis sûrement pas dans l’air du temps, mais je suis tellement plus heureux ainsi. Alors, oui, la déco est éclectique, elle vient pour beaucoup de brocanteurs et d’antiquaires. Tous ces objets surannés donnent une âme, racontent une histoire… Et je trouve ça tellement beau. Et moi, j’ai besoin de toutes ces vieilleries pour me tenir compagnie !
Une compagnie dont les troupes seront renforcées d’Onyx, sans sa gnole, du superbe Buck, un malamute d’Alaska, un rien dévastateur chez cette famille de clients, qui s’avèrera sage comme une image de passage aux Vônezins, et dont Philippe héritera inopinément, de Leika aux yeux bleus délavés qui lui vaudront le surnom de Michèle Morgan, de Mademoiselle Gaufrette, le teckel, alias Ratatouille dès qu’il passe sa truffe en cuisine, de Teddy, de Mirka… sans oublier les 3 chats dont le plus jeune affiche 26 ans au compteur !!!

L’ALPAGE À LA PAGE

C’est qu’on y est si bien, là-haut, dans ce chalet et ses 4 sublimes chambres et suites d’hôtes, spacieuses, confortables et merveilleusement décorées des coups de cœur hétéroclites du propriétaires, tableaux, sculptures et meubles «habités», mais aussi, encore plus déconcertant, d’équipements high tech Bang et Olufsen, vestiges de son ancienne vie à la ville, à se faire chouchouter par Philippe, ses p’tits plats et sa spontanéité aussi désarmante que charmante. Au final, je le sens déjà : la descente va être plus dure que la montée !
Au départ, je ne voulais faire qu’un restaurant, mais pour en vivre, c’était compliqué, surtout avec du personnel. Il fallait une autre structure pour l’amortir. Et la maison d’hôtes s’est imposée. Un engagement qui n’a rien d’anodin… Toutes les Marie-Chantal et petits Robert qui se mettent à faire des omelettes, une terrine et de la confiture de fraise pour faire table d’hôtes à côté de leurs chambres, ils tiennent 2 ans avant de vouloir s’échapper de leur tôle, une tôle dorée, mais tôle tout de même, où tu bosses de 7 heures du matin jusqu’à minuit, 7 jours sur 7, à recevoir des gens supers, comme les pénibles. Et t‘es scotché à ta maison, même quand tu n’as que 2 pensionnaires ! Si t’as des amis qui te disent : viens, on va boire un coup, tu ne peux pas. Tu dois être là. Moi, je tiens parce que ma maison, c’est une histoire d’amour fusionnelle et à vrai dire, je ne suis bien nulle part ailleurs. Et avec un hyper actif incanalisable qui rentre dans le 3e âge comme moi, soit tu le mets sous Vitaline, soit tu l’occupes ! Ce rythme soutenu ne me dérange pas, il est plutôt salutaire… pour les autres comme pour moi !

LE ZÉBULON DE LA MONTAGNE ENCHANTÉE

En cuisine, Philippe fait tout, de A à Z, seul avec la «saucisse» Ratatouille qui supervise tous les plats. 35 couverts midi et soir, 50 l’été avec la terrasse. Une carte généreuse à base de produits du terroir, des plats authentiques qui lui viennent de sa grand-mère, sans tralala, piochant ici et là aux traditions lyonnaises et savoyardes, gourmands et copieux pour ravitailler les troupes de retour d’une balade en raquettes sur le plateau de Beauregard ou d’une rando dans les Aravis. Depuis 5 ans, il s’est octroyé les services à l’année de Théo, un complice précieux lors des travaux, ou de l’aménagement du chalet, et chaque jour pour le service en salle. Les yeux pétillants, le sourire en étendard, le jeune homme évolue dans une chorégraphie millimétrée, ne prenant même plus la peine de relever la tête entre 2 pièces, –on devine que le métier est rentré dans le crâne, au propre comme au figuré !–. De Sylvie, la gouvernante, qui gère l’intendance des chambres et de la maison, de Jordan, “notre jeune farfelu, qui vient aider au service, en cuisine ou à la plonge…” Deux renforts viendront bientôt compléter l’équipe pour la haute saison. Avant, c’était l’hiver, de mi-novembre à Pâques… Maintenant, c’est plutôt l’été, de début juin à la Toussaint. “Et là, c’est tous les jours non stop ! C’est du sport !” L’établissement reste ouvert à l’année, Philippe et sa fine équipe -sur 2 ou 4 pattes- fidèles au poste. “Qu’est-ce que tu veux que je ferme ? Pour rester tout seul ici ? Je m’emmerderais ! Et pour partir ? Avec 6 chiens, 3 chats, 15 chèvres et 2 chevaux, y a pas d’arche qui m’attend en bas ! Mais je suis si bien là, et puis j’ai une bonne vocation d’ermite à la base.” Un ermite, à la langue bien pendue, au sens de l’accueil extraordinaire et au goût exquis… “C’est qu’on est plus à l’époque du grand-père d’Heidi ! On a même internet ! Et c’est pas mal d’accueillir du monde ! On fait de sacrées rencontres au final !” On y croise des vieux solex qui redescendent en silence… Le moteur gonflé à bloc.

+ d’infos : lafermedesvonezins.com

PHOTOS : BLUE 1310

LÀ-BAS*

Là-bas,
Tout est ruines et tout est ravages,
Bilan bien sanglant d’un braquage…
D’ici, on perçoit leur effroi,
Ouh, ouh, ouh, ouh… Chez nous, ce pourrait être là-bas.

Là-bas,
La fureur d’un führer fait rage,
Mais comment sortir de l’orage ?
Si l’espoir doit perdre sa voix,
Ouh, ouh, ouh, ouh… Sa folie guidera les convois…
Chez nous, ce pourrait être là-bas.

Reste pas !
Y’a les Soviets et le chantage,
L’haineux, les balles et le carnage…
Ces images qui défilent cent fois
Ouh, ouh, ouh, ouh… Cette mort qu’il tutoie !
On attend que cesse la guerre,
Toute cette horreur à bannir,
Si la nuit pouvait se taire,
Pour un jour tout reconstruire…

Ici, mesure-t-on la chance
De rire et de vivre léger ?
C’est parfois de l’indécence,
Chez toi, on ne fait qu’en rêver…

Là-bas,
Comment stopper cet engrenage ?
Qui parviendra au déminage ?
Sortir de là tous ces soldats…
Ouh, ouh, ouh, ouh… Qui l’arrêtera, là-bas ?

T’auras plus peur, t’auras un toit (reste pas)
Et le choix, chez moi, que tu n’as pas (là-bas)
De la douceur, à défaut de joie (chez moi)
L’exil ici plutôt que la proie (là-bas)
Tu ne pensais pas tomber si bas (reste pas)
Laisser ton homme, quitter ses bras (là-bas)
Ce pays qu’est le tien aux abois (reste pas)
C’est pour la liberté qu’il s’y bat ! (là-bas)

Tout est ruines et tout est ravages (là-bas)
Bilan bien sanglant d’un braquage… (là-bas)
Trop de vies qui volent en éclat (reste pas)
Autant d’innocents qu’on foudroie (là-bas)
Chez nous, ce pourrait être là-bas… (là-bas)
Elle se boira rouge leur vodka (reste pas)
Oh, ce n’est pas humain ces combats (reste pas)
Chez nous, ce pourrait être là-bas…

*inspiré du titre de Jean-Jacques Goldman.

NON MAIS, À L’EAU !

Marco a des idéaux plein le ciboulot et des rêves sous embargo.

Dans son studio de la taille d’un berlingot, il se verrait bien matelot sur un bateau : rafiot, cargo ou paquebot, qu’importe, de Macao à Bornéo, de San Francisco à Bonifacio, il chercherait son eldorado. Mais là, avec son magot, pas de hublot, qu’un pauvre pédalo pour placebo – c’est toujours mieux qu’un radeau !-, cap sur… Saint Jorioz !

Pour viser plus haut, faudra jouer au loto, miser au casino ou faire le gigolo… C’est qu’il serait taillé pour ce boulot, ce costaud bonobo latino : des abdos à gogo, des biscoteaux classés à l’Unesco, macho mais pas manchot et un bitoniau entre le mikado top niveau et le barreau d’un taureau au repos, vous voyez le topo !

Mais voilà, ce nigaud est accro à une bimbo nympho ! Un sacré numéro celle-là… Une morpho à la Bardot, des lolos à vous filer un lumbago, le cœur artichaut sous son boléro fluo, qu’on croirait échappée du Lido. Cette fille chalumeau vous ferait décoller Apollo d’un simple bécot ou dégeler un Eskimo de Barrow et le rendre carbo. (Le climat sur brasero, c’est elle !) Mais y a pas photo : recto verseau, c’est que du faux ! Un attrape-nigauds, au bas mot, semant le chaos dans son hameau, devenu ghetto depuis, un vrai fléau.

Pas de pot, il en est bargeot, complètement marteau de sa Calypso… Tout fiérot, le coco joue les Roméo, gonfle les pectoraux et c’est le cardio en mode pogo, qu’il part tout de go en mission commando…

L’égo mégalo porté haut, il fait le beau, sort les chevaux, un peu trop… Pour la pécho, super Mario fait le barbeau, balance des pseudos records «mondiaux» aux JO de Tokyo, section arts martiaux… s’invente un scénario à la San Antonio dont il serait le héros, avec moult effets spéciaux. Mais n’est pas Colombo sous son manteau qui veut… Le jabot ne fait pas l’intello ! Notre idiot a laissé son cerveau à la caisse des dépôts.

Tel un torero devant son taureau, Lancelot sortirait bien son gros javelot. Il a chaud -merci le déo !- prêt pour l’assaut ?

Mais notre zigoto est encore puceau, et n’avait pas mater le tuto de Rocco avant de tester le proto. C’est ballot ! Pris à défaut, Pinocchio, penaud, part pour l’échafaud.

Et bientôt, tout va à vau-l’eau, c’est waterloo : l’asticot chamallow finit bigorneau. Léo prend l’eau. Caprio un râteau ! K.O., pas de péno ! Le fiasco. Comme gigolo, il sera zéro… Ciao Rio, Portofino, San Diego, Oslo ou Chicago… “Woh, woh… la fille de l’édito, faudra p’t-être arrêter l’eau, le mois pour sauver les alcoolos, c’est terminado. Pour l’apéro, on va y aller mollo : un Aquavit ?!” (hum, ça, c’est de la dynamite, j’hésite… C’est l’histoire d’un Hobbit…)

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