J’en ai plein le dos… Scié ! Je suis comme la bergère qui ne compte plus ses moutons, à force… Trop, c’est trop. Essec et Math’ n’y feront rien… Petits, gros, coincés, bénis, terreux…
Quand les conteurs sont borderline, les compteurs sont débordés.
Pour un peu, le club afficherait complet. Mais sans l’arrière- pensée des derrières pincés, roulant pour ne jamais faire banquette, je trace ma route en cabriolet, défrisant sur mon passage les bancs publics qui se bécotent sans capote.
Bien sûr, même si je n’ai rien d’une pouf’, les mauvaises langues penseront très fort qu’ils me sont tous passés dessus. Et non : pas tous ! Il me reste de l’espoir ! A moi les bien séants, à eux, les faux culs !
Je sais, même sans ressort, on s’en sort toujours, mais je dois bien l’avouer, à vous : je suis au bout de ma vie, là. J’ai fessetoyer plus qu’il n’en faut. Je ne suis plus qu’un pauv’ crapaud qui attend qu’une âme bien lunée le transforme en Marquise. Ah, je crois que Voltaire gratte à ma porte… Je n’en mène pas large, comme la future mère qu’on tente de rassurer en salle d’accouchement, en lui lâchant que l’affaire se présente bien… par le siège !
Q suis-je ? vous avez trouvé ?
