PSYCHO : FINIR SUR UN SOURIRE

27 Juin 2022

UN ADIEU PEUT-IL ÊTRE JOYEUX ?

En général, les humains vivent mal les séparations, les fins de cycles ou ce qu’on appelle «les petites morts». Dans beaucoup de cas, c’est bien dommage, car la fin d’un cycle en annonce un nouveau que nous pourrions aborder avec enthousiasme, optimisme et curiosité. Mais on ne nous y a pas habitués. Alors comment faire pour vivre joyeusement nos aurevoirs ?

Par Christel PETITCOLLIN

Tristesse et joie sont les deux faces de la même médaille. La tristesse s’enclenche dès qu’une fin de quelque chose est perçue. C’est un processus d’archivage qui permet de transformer son vécu en souvenir et de faire de la place pour le nouveau qui va arriver. Ainsi, le blues du dimanche soir permet d’archiver le week-end pour être disponible pour le lundi matin. Oui, ce n’est peut-être pas le meilleur exemple. Mais il est important de comprendre qu’on ne peut être triste que pour ce qui nous a procuré de la joie. Et la tristesse sera évidemment proportionnelle à la joie que j’ai emmagasinée. Si mon week-end était nul, je n’aurais pas le blues du dimanche soir ! Alors, sentez-vous sourdre la joie sous votre tristesse ?

LA NOSTALGIE HEUREUSE

Repenser aux bons moments ne s’accompagne pas forcément de regrets et de spleen. Les Occidentaux vivent souvent une nostalgie douloureuse. Pourtant, on peut ressasser ses souvenirs avec plaisir et même bonheur. Quelle chance d’avoir vécu tout cela ! Quelle délectation de pouvoir le revivre mentalement ! Dans son roman éponyme, Amélie Nothomb nous apprend que les Japonais ont un mot spécial pour décrire cet état qui pourrait se traduire par «nostalgie heureuse». Nous le connaissons plus que nous voudrions l’admettre : qui n’a jamais rigolé avec ses amis en évoquant ses frasques passées ?

LA ZÉNITUDE BOUDDHISTE

Un des principaux principes bouddhistes est le suivant : «Dans la vie, tout a une naissance, une croissance, une plénitude, un déclin et une fin.» C’est en allant à l’encontre de cette loi immuable de la nature que l’être humain cultive son propre malheur. De fait, quand on achète un verre, on devrait garder à l’esprit que le destin de ce verre est de finir cassé, au lieu de nous désespérer parce que le service est dépareillé. Vérifiez ce principe : il marche pour tout, y compris pour nous. Soyons bons joueurs : si nous allons vers notre déclin, c’est que nous avons eu notre période de plénitude. Tout ça pour vous dire à quel point c’est chouette que Activ’ ait pu exister toutes ces années et quelle gratitude je garde d’avoir pu participer à cette aventure. Belles nouvelles expériences à tous !

Photo : Fotovika

la rédaction

la rédaction

pis paul : saut dans le temps… X

J’AI BEAU GDANOV, JE N’EN MÈNE PAS BIEN LARGE !

Suivez nous !

et ça, t’as vu ?

MONTREUX JAzz

L'INCONTOURNABLE - S’il y eut réellement, un jour, le feu au lac, c’est bien à Montreux, en 1971 au Casino, et l’événement inspira à Deep Purple son mythique Smoke on the water. Tout à Montreux est donc légende, des affiches aux jam-sessions surprises, en passant par...

pis paul : saut dans le temps… X

J’AI BEAU GDANOV, JE N’EN MÈNE PAS BIEN LARGE !

Quelles clés pour fermer sa société ?

ET 1, ET 2, ET 3… POUR REPARTIR À ZÉRO

PSYCHO : FINIR SUR UN SOURIRE

Un adieu peut-il être joyeux ?

basta cosi !

Basta Cosi, c'est toute la cuisine traditionnelle italienne avec une pointe de modernité, une carte élaborée à partir des meilleurs produits venus directement d'Italie, pâtes fraîches artisanales, charcuterie italienne DOP et IGP, viandes et poissons frais. La pâte à...

DESSERT CRAQUANT

Chic, c’est l’été !

pIS pAUL, bEST OF

STARS AU COMPTOIR

RECETTE D’ÉTÉ

Pour changer des salades…

Pin It on Pinterest

Share This