applis c’est tout !

17 Mar 2017

Apps attaquent !

En 2016, les Français sont devenus « mobile first », c’est-à-dire que la majorité d’entre nous se connecte à internet via son smartphone, et non depuis son ordinateur. Indissociables de cette navigation mobile, les applications se multiplient, gadget trendy ou véritable outil, les apps attaquent !

Il y longtemps, enfin pas si longtemps que ça, le sac à main était le meilleur ami de la femme ; le couteau suisse, celui de l’homme – oui, le chien aussi, mais il avait beaucoup moins de fonctionnalités et risquait de sentir fort par temps de pluie. Aujourd’hui, plus fourre- tout et beaucoup moins cher que le Birkin d’Hermès, plus utile et pratique que l’outil fétiche de l’armée helvétique, plus fidèle et moins poilu que Mabrouk, le smartphone est dans toutes les poches, dans toutes les mains, devant tous les yeux.

Plus de 60% de la population en serait équipés. Réveil, agenda, album photo, GPS, coach sportif, partenaire de jeu, organisateur de soirée et accessoirement téléphone, le smartphone nous accompagne à chaque micro-moment de la journée. Et à chaque micro-moment correspond une application. Depuis le lancement de l’App Store d’Apple mi-2008, les magasins d’applications en ligne en ont livré plus de 500 milliards ! Et selon Médiamétrie*, sur les 28 applications que chacun d’entre nous détient en moyenne, nous n’en utilisons régulièrement que 7 ou 8, auxquelles nous consacrons une trentaine d’heures par mois.

APPLI-CULTURE

Car toutes ne nous accompagnent pas durablement. Le monde des applis, sans pitié, est d’une grande volatilité. 1 sur 4 n’est jamais utilisée, 59% ne le sont qu’une seule fois, avant d’être totalement abandonnées. Exemple probant, devant les services pratiques (type Blablacar, SNCF, Menu du jour… ) et les réseaux sociaux, ce sont les applications de jeux qui sont les plus téléchargées, mais elles sont aussi les plus vite désinstallées. Car pour 2 personnes sur 3, un seul vrai critère de choix : l’appli doit simplifier la vie.
Cloé Paulmier est growth-hacker chez Aboutgoods, éditeur à Cran-Gevrier (oups, Annecy désormais !) des applis TachetKoa et TamenKoa (lire Activmag de janvier 2017). La jeune femme a pour mission d’accroître la « base utilisateurs » de ces applis ; en d’autres termes, elle doit trouver les moyens de séduire et retenir les utilisateurs : “une bonne app’ doit répondre à un besoin, résume-t-elle. C’est certainement LA seule raison d’exister d’une app’ et le moyen de devenir nécessaire à la routine des utilisateurs, comme Uber, AirBnb, Google Maps… certaines réussissent même à créer un besoin, comme Snapchat par exemple et dans ce cas, elles peuvent même être ratées visuellement, proposer une expérience utilisateur dégradée et des problèmes techniques, si elles offrent quelque chose de nouveau ou d’unique, elles n’ont besoin de rien d’autre.”

Mais à part ces cartons exceptionnels, pour être adoptée, l’app’ de base doit surtout être extrêmement fonctionnelle : “Il faut que la première expérience soit la plus agréable, la plus instinctive possible, de manière à ce que l’utilisateur n’ait pas à réfléchir, sachant que les utilisateurs d’IOS ou d’Android n’ont pas du tout les mêmes réflexes, les mêmes habitudes.” Et pas de relation durable sans un minimum de fidélité, l’appli réussie doit donc aussi avoir un petit goût de reviens-y.

BECAUSE I’M APPLI…

Côté business, en dehors du fait qu’elles font miroiter un nouvel eldorado publicitaire, les applis représentent surtout un point de contact permanent entre les marques et leurs clients. Sur les trente plus grands « retailers » français (Auchan, Darty, Fnac, Decathon, Rue du commerce, Zalando…), 80% ont donc développé une app’, la plus téléchargée restant, sans surprise, celle d’Amazon. Mais pour fidéliser, il ne leur suffit pas de proposer une version mobile, « responsive », de leur site internet, il faut que leur application offre du contenu à forte valeur ajoutée, utile et pratique, voire ludique, facile d’accès et d’utilisation. Les applis MacDo et Starbucks, par exemple, permettent de commander et payer en ligne. Car nous achetons de plus en plus depuis notre mobile. En 2015, le chiffre d’affaires du m-commerce (après l’e- commerce sur internet, le m-commerce sur mobile), atteignait 7 milliards d’euros, soit une augmentation de 75% par rapport à 2014 **.

THÉR-APPLI

L’intérêt de tous – marques, éditeurs d’applis, annonceurs – est donc que nous surfions le plus possible sur nos mobiles. 2h27, c’est le temps moyen que nous y passons déjà. Mais alors que nous pensons maîtriser ce temps, être en mesure d’arrêter quand on l’a décidé, de l’autre côté de l’écran, des millions sont dépensés pour que nous ne décrochions pas. Par le biais des notifications, des pushs, des rappels, des fils d’actualité continue, notre disponibilité est accaparée, notre attention morcelée. C’est ce que dénonce Tristan Harris, philosophe et ancien éthicien chez Google, sans pour autant jeter smartphones et applis avec l’eau du bain. Son label, « Time Well Spent », est l’équivalent d’un label bio pour l’alimentaire : il propose de différencier les technologies qui nous aident à mieux utiliser notre temps au lieu de nous inciter à rester scotchés sur des écrans. En gros, à reprendre contact avec la réalité qui nous entoure, pour rétablir l’équilibre entre la vie off-line, et la vie on-line. Et quels sont les outils qu’il nous met entre les mains ? Des applis, bien sûr (voir encadré). Parce qu’il faut bien soigner le mal par le mal…

+ d’infos :

* Etude Médiamétrie, « Applications : installation, usage et désinstallation », mars 2016.
** Etude publiée par Sociomantic : « 2016 : la déferlante des applis », avril 2016.

CES APPLIS QUI NOUS VEULENT DU BIEN

Chacune des applis recensées par le Label « Time Well Spent » a pour vocation d’aider les utilisateurs à gagner en sérénité. « Moment » par exemple, mesure le temps que vous – et les membres de votre famille, passez sur les tablettes ou smartphones. Il est alors possible de programmer des temps « Sans Ecran », et si l’une des personnes concernées déroge à la règle, une alerte le signalera aux autres.

C’est un peu du flicage pour commencer, mais ça peut aider à rétablir certaines bases. Et pour s’assurer de gérer la chose avec calme, autant commencer la journée avec « HeadSpace », une appli d’initiation à la méditation. Mais la tranquillité d’esprit tient à un ensemble de chose, et notamment à des nuits réparatrices. Or, la lumière bleue des écrans, consultés avant de se coucher, retarderait la prise de sommeil. « F-Lux » propose donc d’adoucir cette lumière, de la jaunir un peu, pour ménager vos yeux et les préparer à une douce nuit.

Ivipulse carte à pulse

Que celui qui n’a jamais griffonné ses coordonnées à la hâte sur un bout de papier lève la main. Voici Ivipulse, une carte de visite digitale qui ne risque pas de finir à la corbeille.

Par Nathalie Truche

Dans l’amphi, Teddy Palermo, 37 ans, observe un drôle de manège : ses étudiants échangent des feuilles volantes sur lesquelles figurent une demi-douzaine de colonnes tracées

répertoriant numéro de téléphone, mail, comptes facebook, twitter, Instagram, Snapchat… Le professeur d’activités physiques à l’Université Pierre Mendès France de Grenoble s’en ouvre à un ami commercial. L’ami en question, qui connaît le casse-tête représenté par le stockage des fameux petits « Bristols », s’étonne du manque de solutions numériques appropriées… 2015 : une idée vient de germer et en quelques mois, Ivipulse est née.

COMMENT ÇA PULSE ?

On télécharge l’appli, on choisit un joli fond pour sa carte de visite dans la bibliothèque de templates et go ! L’utilisateur est déjà inscrit sur un réseau professionnel ou social ? Alors très peu de renseignements sont à fournir. Ivipulse se débrouille tout seul comme un grand. Puis, il va proposer d’échanger, par géolocalisation, sa carte de visite 2.0 avec des personnes présentes sur un même événement, qu’il soit professionnel (salons, forums, réunions) ou festif (manifestations sportives, concerts, sorties). Alimentée par ces données, Ivipulse se mue en un véritable carnet de contacts nouvelle génération.

Pas de panique : on communique les infos que l’on veut et à qui l’on veut. Finaliste aux InnoTrophées de la CCI de l’Isère, la start-up basée à Saint-Egrève ne compte pas en rester là. Sa team de six personnes poursuit sa quête d’investisseurs susceptibles de l’aider à accroître sa notoriété. Objectif : donner à Ivipulse une ampleur nationale – voire internationale – et poursuivre son développement en s’adressant, par exemple, aux commerçants désireux d’embrasser un nouveau mode de communication. Prêt à pulser vos réseaux ?

+ d’infos : www.ivipulse.com

 

Ski 360 live des neiges

Une appli smart qui simplifie les séjours au ski. Développée à Lyon, ski 360 se connecte en temps réel à une centaine de stations françaises.

Par Christine Gil

Plus besoin de sortir son plan ou son guide papier au milieu des pistes pour retrouver le chemin du village à travers neige fraîche et sapins. En temps réel, le skieur planifie sa prochaine descente, en visualisant son smartphone. Enregistre en live son run, à partager avec les skieurs de la station participant au GPS challenge. Repère le top de la pause cool sur son tracé pour chiller. Facile, intui- tive, l’application gratuite Ski 360 est l’une des plus complètes. “Toute la montagne sur son mobile. Une appli pionnière avec infos pratiques et bons plans dans une démarche communautaire”, explique Maxime Le Gonidec, co-fondateur passionné de ski et snow.

L’utilisateur choisit sa station en fonction de sa géolocalisation ou selon des critères sélectifs de lieu, de style d’activité sportive ou familiale, de prix… mais aussi de météo et d’enneigement. Une assurance anti-galère ! “La montagne est un écosystème propice à ce service novateur mettant en relation skieurs et professionnels. Nos utilisateurs bénéficient des informations et nos partenaires, de notre audience pour communiquer leurs offres.”

Ski 360 attire plus de 150 000 utilisateurs chaque année naviguant sur un choix de 101 stations de taille variée, des Pyrénées au Jura, dont 65 dans les Alpes du Nord. Une app à utiliser sur la route des vacances pour bénéficier de tarifs promotionnels ou réserver son forfait et matériel en ligne. A tester pour aller taquiner la poudreuse de printemps !

+ d’infos : www.ski360.fr

Onair-alert silence ça push !

Vous avez loupé l’interview de Johnny et êtes inconsolable. Adieu mouchoirs, l’appli onair vous alerte par « push » avant le passage média de votre chouchou.

Par Nathalie Truche

En 2013, dans la capitale des Gaules, Vassilli Daronnat est salarié chez un grand éditeur de logiciels. Lorsqu’il rate le passage télé de son patron, il se fait tout petit auprès de ses collègues de bureau qui EUX, ne l’ont pas manqué. “Cela m’a ouvert les yeux sur ce phénomène”, dit-il.

En cinq mois, l’appli onAir est élaborée de manière à prévenir l’utilisateur avant l’intervention de sa personnalité préférée à la radio, TV ou sur la presse en ligne. Aujourd’hui, la start-up MCIS installée dans le 9e arrondissement de Lyon comprend 6 personnes dédiées au développement de l’ingénieuse application. D’ailleurs, les médias ont vite saisi l’intérêt d’un tel outil permettant la promotion de leurs invités issus de divers domaines : politique, musique, sport, business, cinéma…. Les personnalités elles-mêmes (Raphaël, Alex Lutz, Vincent Dedienne, Ingrid Chauvin, Bénabar, Eric Antoine…) ont également compris l’avantage d’annoncer leurs apparitions via l’appli lyonnaise.

7000 PUSH PAR JOUR

Parmi le Top 10 des personnalités les plus suivies (toutes catégories confondues) figurent Gad Elmaleh, Stromae, Kev Adams, Nicolas Sarkozy, Rihanna et Djamel Debbouze. En cette période électorale charnière, le Top 10 actualités est, sans surprise, trustée par les personnalités politiques. En 2016, a même été ajouté le référencement de la prise de parole publique : conférence, meeting, dédicace… Avant chaque intervention, l’abonné est prévenu par une notification (push) généralement envoyée la veille. Aujourd’hui, l’appli en chiffres, ce sont 9000 personnalités référencées, 75000 prises de paroles (depuis 2014) et l’envoi de 7000 push par jour. Alors, si vous ratez votre boss à la télé, prévoyez une excuse en béton !

+ d’infos : www.onair-alert.com

Partage et nature chasse & paix !

Vous aimez marcher, courir, randonner, faire du cheval ou promener votre chien dans nos forêts sans que l’on vous confonde avec bambi ? Cette appli est pour vous !

Par Delphine Guilloux

Suite aux rares, mais toujours trop nombreux et inacceptables accidents, la Fédération des chasseurs de Haute-Savoie a eu cette belle initiative : une appli qui vous indique en temps réel les zones de chasse. Il suffit de se géolocaliser, et vous savez immédiatement si vous pouvez aller cueillir vos pâquerettes ou ramasser vos champignons sans risque d’être confondu avec un sanglier…heu ! pardon… une biche… !

Les zones « chassables » apparaissent sur une carte IGN en gris, alors que les zones « promenables » en violet ou mauve, selon les catégories Zone non chassable ou Réserve non chassable.

Cette nouvelle appli, unique en France, connaît un tel succès que la Fédération a été contactée pour la développer au niveau national ! A ce jour, après un an d’activité, on comptabilise 20.000 connexions et 3.500 téléchargements sur la Haute-Savoie. Une version en anglais est en cours pour les touristes.

Des pancartes affichant un flashcode aux entrées des chemins forestiers vous permettent de la télécharger avant la balade.

De plus, l’appli donne de bons conseils aux promeneurs, et vous saurez tout sur les différents types de chasse et leur règlementation, ainsi que les animaux « chassables ». J’ai ainsi découvert que ni le chamois, ni la marmotte ne sont des animaux protégés ! Mais ça, c’est un autre débat, n’est-ce pas ?

+ d’infos : www.partage-et-nature.fr

 

Le 7-4 in the pocket

Rando, vélo, sorties culturelles, découverte du patrimoine… Depuis 2015, on peut trimballer (presque) tout le département dans sa poche, avoir la Haute-Savoie sur soi, où que l’on soit.

Par Mélanie Marullaz

Keskonfé ce week-end ? Quitte à prendre la voiture pour découvrir une jolie balade à l’autre bout du département, autant optimiser le déplacement et l’agrémenter d’une petite visite de château ou d’une animation pour les enfants dans le bled d’à côté. Y’a une appli pour organiser tout ça ? Oui : « Haute-Savoie Expérience ».

“Le Conseil Départemental voulait développer un service dans son champ de compétences, qui est très vaste”, résume David Prothais, chef de projet chez Eclectic Experience, développeur de l’application. “Il fallait donc trouver ce qui serait pertinent d’offrir en terme de mobilité. Or, il avait des données très riches sur la rando, la culture ou le patrimoine, mais il les valorisait dans des sphères disjointes, sans jamais les croiser. Le Département a également une compétence touristique, mais pas seulement, il était donc important que cette solution réponde aux besoins des habitants, des jeunes actifs, des étudiants, qui utilisent le territoire, le connaissent et veulent le pratiquer encore mieux.”

Le résultat ? Toute l’offre départementale répartie en 4 rubriques (domaines d’art et de culture, espaces naturels sensibles, itinéraires de randonnées pédestres et circuits cyclotouristiques) pour une carte IGN sur laquelle sont localisées les possibilités de sorties. Les petits plus ? Un système de géolocalisation qui permet de visualiser toutes les options à proximité de l’endroit où l’on se trouve, ou de se situer sur un itinéraire de rando. Un module permet même d’ajouter une donnée pour signaler un danger, un éboulement ou un magnifique point de vue rencontrés sur son parcours.

Aujourd’hui, l’appli compte déjà près de 20 000 utilisateurs. Elle est également disponible depuis le site internet, dans sa version « responsive » pour être visible par les utilisateurs de système d’exploitation autres qu’Android ou IOS.

+ d’infos : www.hautesavoiexperience.fr

Un papoo qui déchire

Sylvain pont n’est pas développeur, ce n’est même pas un geek, il est plutôt contre les écrans d’ailleurs, quand il réalise qu’il ne peut pas empêcher totalement ses enfants de s’en approcher. Pour eux, il crée donc les applis papoo.

Par Mélanie Marullaz

« Mes deux filles regardent très peu la télé, on régule, on contrôle.” En père vigilant, Sylvain Pont voudrait bien faire la même chose pour les smartphones. Alors le jour où elles veulent essayer le sien, pour les initier, il fait le tour des différents « stores », mais ne trouve aucun contenu adapté aux moins de 3 ans : “j’étais étonné que ni les grandes éditions papier, ni les studios qui déve- loppent déjà des applis ne se soient vraiment penchés dessus.” Il profite donc d’un déménagement vers la Haute-Savoie et d’une reconversion professionnelle pour réfléchir à des applis pour les tout-petits. Ce sera une traduction mobile de l’imagier, grand classique de l’apprentissage du langage. “Il en existait quelques-uns, sur les animaux, qui marchaient très bien avec les enfants, mais les images, les dessins ou les illustrations sonores n’étaient pas de très bonne qualité. Et puis la classification par tranche d’âge était un peu vague”.

Pendant un an et demi, il bûche donc sur le sujet, cherche un dessinateur, fait valider son choix par des spécialistes – genre grands yeux curieux, bouilles rondes et petits doigts boudinés tachés de feutres multicolores, experts en c’est-lequel-le-plus-beau-dessin-de-chat ? – et consulte des pédo-psy qui déconseillent les écrans avant trois ans… “Mais c’est la théorie. Dans la réalité, c’est difficile à appliquer, parfois, on aimerait bien leur laisser notre smartphone 3-4 minutes.” Allez, 8 maxi. C’est le temps au bout duquel Papoo se ferme automatiquement, pour limiter l’exposition, mais aussi pouvoir récupérer son téléphone plus facilement. En janvier dernier, Sylvain lance donc officiellement ses 3 premiers imagiers : la mer, les animaux et la montagne. Papoo, c’est simple, prononçable dans toutes les langues, et ça tombe bien, Sylvain espère ne pas séduire QUE les petits Français, il vise aussi l’Asie et les Etats-Unis avec des applis universelles, puisqu’elles ne contiennent ni écrits, ni parlés. Si elles ne sont pas gratuites, elles restent accessibles (moins de 1€), ont déjà été téléchargées plus de 500 fois et devraient s’étoffer d’une nouvelle thématique tous les trimestres (musique, sport, légumes…).

+ d’infos : www.papoo-games.com

© Jesus Sanz

Mélanie Marullaz

Mélanie Marullaz

Journaliste SURNOM: Poulette. PERSONNAGE DE FICTION: Elastigirl. OBJET FETICHE: mon oreiller. ADAGE: à chaque Barba-problème, il y a une Barba-solution. (philosophie Barbapapienne) JE GARDE: mes épaules. JE JETTE: mes grosses cuisses de skieuse. DANS 20 ANS? la tête de mon père sur le corps de ma mère. presse@activmag.fr

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