le goupillon, outil de séduction

le goupillon, outil de séduction

la drague au pif

Vous avez sûrement remarqué les impressionnantes files d’attente qui se forment depuis quelques semaines devant les pharmacies et les laboratoires. Ces longues queues sont une formidable opportunité à saisir pour enfin rencontrer l’âme sœur.

Depuis deux ans en effet, la drague fait grise mine. Les variants en tout genre ne favorisant guère les crushes, Popaul et Craquette se sont retrouvés malgré eux au chômage technique. Et si cela continue, ils vont pouvoir se qualifier pour les Jeux Olympiques du sexe : une fois tous les 4 ans. Pourtant, malgré cette pandémie, vous n’êtes pas anticorps. Vous seriez même plutôt pour.

L’ÉCOUVILLON, FLÈCHE DE CUPIDON

Hélas, avec votre masque, vous avez le moral à Zorro et n’êtes plus d’humeur à vous escrimer sur une gazelle ou un keum. Dans ces conditions, pourquoi ne pas mettre à profit les heures d’attente sur le trottoir, avant que la tête chercheuse de l’écouvillon ne vienne torturer votre fosse nasale ? Vous avez assez de temps pour capter un regard (ce qui, avec le masque, le bonnet et l’écharpe, est déjà une jolie performance), puis engager une conversation. Cela doit être d’autant plus facile que toutes les personnes autour de vous sont plus ou moins stressées à l’idée de passer un moment déplaisant. Un mot rassurant, une petite blague pour détendre l’atmosphère, et hop, c’est parti. Vous étiez cas-contact, vous vous apprêtez à pécho un encas-contact. Joindre l’utile au désagréable n’est donc pas si compliqué. Cela peut même être le début d’un beau roman et d’une belle histoire. Certes, la rencontre n’aura pas eu lieu au bord du chemin, mais près du lave-main. Pas d’autoroute non plus, mais un auto-test, et pas de grand champ de blé mais un coton-tige dans le nez. Pas de quoi en faire un tube, mais c’est bien une romance d’aujourd’hui !

COMMENT OBTENIR UN CUL R GODE ?

Evidemment pour que cette rencontre «vire au logis», et que l’objet de vos convoitises devienne votre PCR (plan cul régulier), un certain nombre de conditions s’imposent. Il vaut mieux, en effet, oser la jouer fine pour faire hennir les chevaux du plaisir. Pas si évident, vu que, depuis quelques mois, vous avez perdu la main niveau gringue. Un bla-bla trop brutal ou un peu bateau et c’est l’impasse sanitaire. Comment éviter qu’il ou elle mette les voiles et que vos initiatives se transforment en dé-route du rhume ? D’abord ne cherchez pas à pécho à tout-vax. Point de drague en mode crevard ou pire, en mode harcèlement (si besoin, relisez la définition de «consentement» dans le dictionnaire avant de sortir de chez vous). Les rimes pauvres des interpellations du style «Hey mademoiselle, t’es belle comme la Tour Eiffel», ou «la miss aux cheveux lisses, tu veux pas mon 06?», ne sauraient garantir la réussite de votre entreprise de séduction. Ensuite, travaillez votre look, on ne sort pas en jogging-charentaises, le cheveu hirsute, sous prétexte qu’on va juste se faire tester. Car si vous êtes célib’, l’enjeu est de taille. Le virus peut vous mener à Vénus et une narine perforée vous expédier chez Montgolfier. Comme quoi, il faut toujours rester positif en période de Covid !

©Rogistock

ESSAIE ENCORE

ESSAIE ENCORE

POUR QUI SONNE LE GONG ?

Clap de fin sur un été bien meurtrier pour mon intégrité physique (combo trop d’apéro – défaut dodo). Même l’indien n’aura pas été assez revigorant pour rattraper le déficit programmé. Souffle court, j’ai trouvé ce qu’il me fallait : le Qi Gong.

Vous l’aurez compris ou expérimenté, il est un âge où il vaut mieux jouer l’alternance des plaisirs. Autrement dit, la fiesta tous les week-ends, les apéros milieu de semaine, le boulot taquet et la descendance pied au plancher… il y a un moment, abuser ou périr, il faut choisir.

PURE CONSCIENCE

Perso, la coupe est pleine, j’ai bouffé mon capital sommeil des trois hivers et autres confinements derniers. Va falloir penser à se requinquer. Etant entendu que les cachetons de vitamine C, compléments gelée royale, cures de spiruline et saupoudrages de graines de chia n’y suffiront pas, aux grands maux… J’ai appelé à la rescousse ! “Le Qi Gong, c’est pile pour toi”, m’a-t-on dit. Très bien, les yeux fermés, mais ça consiste en quoi ?
Le Qi Gong est une gym traditionnelle chinoise qui permet de retendre le lien qui unit santé physique, énergie vitale et esprit. C’est sûr que chez moi, les 3 entités vivent dans une coloc assez borderline ! Ça tombe bien, c’est l’hiver et l’heure du bilan. Grand nettoyage enclenché. Vous n’avez pas peur que ça se frite un peu là-dedans ? Tout devrait bien se passer : mouvements lents, exercices respiratoires et travail sur la conscience, tout en douceur. Soit, ça se tente.

CIRCULATION DES FLUIDES

Ce soir-là, autour de Graziella, praticienne de médecine traditionnelle chinoise, nous sommes une poignée en présentiel et une autre en visio, car si elle officie dans différents lieux des Aravis et jusqu’aux rives du lac, Graziella propose aussi ses cours à distance. Viennent les premiers mouvements : une posture, simple en apparence, puis la répétition pendant de longues minutes d’un seul et même mouvement qui semble tourner en boucle. Les bras tendus à l’équerre de chaque côté du corps, je fais des ronds avec mes mains sans engager les avant-bras. Essayez, vous m’en direz des nouvelles ! Surprenant d’exigence et d’intensité. J’enchaîne en jouant des castagnettes, puis en dessinant des 8 à l’infini avec mes omoplates, jamais cette partie de mon corps n’aura été autant sollicitée. Des ailes me poussent ! Je déroule chaque vertèbre une à une, déverrouille les articulations, ça craque… Est-ce à dire que j’ai l’allure d’un Oscar poussiéreux sorti du grenier ? Pas loin.
Puis les jambes légèrement fléchies en forme de losange, les mains et les bras formant la même géométrie au-dessus du nombril, je reste. Puis commence, la cuisse tremblante, à tétaniser avant de comprendre que je dois tenir sans résister, les pieds bien dans la terre, la tête élevée vers le ciel. Oscar a la mâchoire qui claque.
Au final, l’énergie du Qi me traverse les méridiens comme un grand courant. Les fluides limpides, j’en prends tout mon soûl, étant entendu que niveau hygiène de vie va falloir revoir les basiques.
Une infusion de baies de Goji dans le thermos, à défaut d’avoir retrouvé la fougue de la jeunesse, j’ai comme l’impression d’avoir regagné quelques points sur mon permis santé.

+ d’infos : http://gsolari.fr
Facebook Graziella Pourroy-Solari « Tuina des Aravis »

© Monika Wisniewska

ESPACE RENCONTRES

ESPACE RENCONTRES

TROP DE CHOIX DANS LA « DATE »

Aujourd’hui près de 9000 applications de rencontre pullulent sur le Net, avec de plus en plus de produits de niche misant sur un dating très ciblé. Mais est-ce la garantie de trouver chaussure à son pied ?

A côté des gros sites généralistes -Tinder, Meetic, Adopt’, and Co-, des applications ultra spécialisées se sont en effet développées. Utilisant les ficelles bien connues du marketing, elles segmentent le marché de la gaudriole pour coller au plus près des préférences amoureuses, même les plus farfelues.

L’appli ne fait pas le moinE

Finalement, si le hasard n’a plus guère de place dans un crush, le choix, lui, devient très vaste. Aucune raison de se morfondre en tête à tête avec la veuve Poignet. Croyants, athées, gros, grands, vieux, moches, végans, riches, pauvres, de gauche, de droite, chasseurs, cyclistes, il y en a pour tous les goûts et toutes les couleurs. Un véritable supermarché de la drague, dans lequel il suffit de piocher le produit convoité. En tête de gondole catho, un produit phare, plébiscité depuis 2006 par les apôtres du missionnaire, Theotokos, pour sortir son bâton de pèlerin et amener Jésus dans la crèche.
Au rayon amoureux des bêtes, Animoflirt, pour discuter levrette et donner sa langue au chat. Et dans l’allée principale, des palettes entières de produits bio, en plein essor, comme AmourBio, Green Lovers ou Vegaia. Servez-vous, si l’effet de serre et la cani-cul vous obsèdent. Pratique, et moins cher que les rencontres IRL. Plus besoin de Pommard son temps dans des soirées dégustation dans l’espoir d’harponner une œnologue, de chafouiner à la prochaine manif antivax pour lever une complotiste, ou de jouer du tamtam en forêt pour pécho de la chamane. Il suffit de fricoter sur une de ces nouvelles applis de niche pour trouver le bonheur.

Rendez-vous dans des reins connus

Un moulinage d’algorithmes, et hop, on matche avec quelqu’un qui a les mêmes idées, goûts, ou loisirs. Plus besoin de trier, le risque de croiser sa mère ou son patron est nul, et on a au moins un sujet de conversation lors du premier rencard. Rassurant. Presque trop. En fait, comme le déplore le sociologue Jean-Claude Kaufmann, cette quête de l’alter ego est une impasse. “On recherche un profil hypersécurisant, alors que les couples les plus solides sont ceux qui réussissent à confronter leurs différences et à les surmonter”. Certes, l’homogamie a toujours existé, les riches avec les riches, les intellos avec les intellos, les Tuche avec les Tuche, mais ces plateformes spécialisées accentuent la tendance. En optant pour la drague de niche, on choisit de s’enfermer dans une zone de confort sécurisante, mais pas très fun. Le Mike Horn de la gringue, capable d’affronter les 40es Rugissants, laisse place à un séducteur en charentaises installé devant Thalassa. Calme plat. Et déception garantie. Car, en refusant tout risque, par peur de la différence, peu de chance de nouer une relation durable. Ainsi, l’écolo qui choisit un site écolo pour rencontrer une écolo risque de finir en vert solitaire. Une perspective qui devrait inciter à sortir de son cocon et de l’entre-soie, non ?

© Wayhome Studio

BON  SANG DE BON SENS

BON SANG DE BON SENS

LE FER À TOUT FAIRE

Selon l’OMS, 30% de la population mondiale serait en carence de fer. Ce métal à la couleur grise qui rouille est pourtant indispensable à notre bon fonctionnement. Si beaucoup de femmes perdent trop de fer avec des règles abondantes et sont anémiées, des problèmes digestifs peuvent être aussi la cause de cette carence. Comment y remédier ? Et d’abord, à quoi sert-il au juste ?

Le fer est avant tout indispensable à la fabrication d’hémoglobines, protéine qui permet aux globules rouges de transporter l’oxygène des poumons vers toutes nos cellules. Sans fer, les globules sont plus petits, moins colorés et fournissent difficilement de l’oxygène aux organes. Cet oligoélément est aussi impliqué dans la production d’énergie (au niveau de la thyroïde), dans le fonctionnement du système immunitaire, du foie (où il est en grande partie stocké), ainsi que dans la croissance des tissus. Le fer est particulièrement important lors de la grossesse pour favoriser la croissance de l’embryon.

La carence en fer, un enfer ?

Fatigue physique et intellectuelle, pâleur extrême, essoufflement au moindre effort, faiblesse musculaire, extrémités froides, vertiges, palpitations, maux de tête, chute de cheveux… tous ces signes doivent vous alerter, et mieux vaut faire un bilan pour en avoir le cœur net. L’assimilation du fer dépend de l’efficacité de nos sucs digestifs, particulièrement ceux de l’estomac.

Quels aliments privilégier ?

La viande rouge, les abats comme le foie, les moules, crevettes ou fruits de mer sont connus pour leur teneur en fer. Mais attention à ne pas trop en consommer à cause de leur forte teneur en acide urique également. A éviter absolument en cas de problèmes articulaires. Vous trouverez du fer plus assimilable dans des aliments végétaux comme les lentilles, les noisettes, le soja ou la spiruline. La vitamine C aide à son assimilation, notamment en augmentant les sécrétions digestives de l’estomac.
Certains compléments alimentaires proposent du fer à haute assimilation présentant l’avantage de ne pas provoquer de complications digestives, comme la constipation, les nausées ou les remontées gastriques.

Du fer, oui, mais pas trop…

L’hémochromatose est une maladie génétique qui augmente la quantité de fer dans le sang, mais une surcharge hépatique due à une mauvaise alimentation (trop riche en protéines animales ou en sucres), ou une insuffisance rénale peuvent également déclencher un taux de ferritine trop important.
Trop de fer peut s’avérer véritablement dangereux pour l’organisme et entraîner une oxydation, donc un vieillissement cellulaire prématuré, déclenchant des maladies articulaires, une cirrhose, un diabète et des dérèglements de la thyroïde. Pour palier à cet excès de fer, il est parfois proposé des saignées pour favoriser son élimination via les globules rouges, mais on peut également le combattre avec un apport en zinc, du thé noir et des plantes qui protègent et aident à l’élimination du fer stocké dans le foie, comme le desmodium ou le chardon-marie.

Photo : natalliajolliet1

maquillée monochrome

maquillée monochrome

EN MODE COLOR BLOCK

Le maquillage monochrome est de retour et il s’annonce comme la tendance dominante en 2022. Une technique inspirée du « draping », mais tout en couleur. Juste paradoxal.

S’afficher monochrome, c’est savoir utiliser une seule couleur pour atteindre harmonie et cohésion en créant un jeu de camaïeux subtils sur tes yeux, tes lèvres et tes joues. On attribue la montée actuelle de sa popularité à l’augmentation de la demande pour des produits polyvalents.
Dans les années 50, il était de bon ton d’assortir son maquillage monochrome à sa tenue vestimentaire. Un raffinement chromatique qui laisse pantois ! Hé bien, imagine-toi, que tu risques bien de le voir à nouveau « copié-collé » imposé aujourd’hui par un dress-code «monochrome» absolument élégant… Flash back sur les 70ties, et le maquillage disco d’un «Saturday night fever», avant de le voir resurgir dans les années 90 aux nuances profondes de marron riche à l’effet charbonneux, spectaculaire et sulfureux. Un maquillage au raffinement original, très perso, à géométrie variable, opérationnel de jour comme de nuit. Et quel gain de temps pour ta routine make-up !

INNOVER DANS LA GESTUELLE

Pour réaliser un maquillage monochrome, nul besoin d’être une experte. Il est facile à créer avec quelques techniques basiques. Tu optes pour une couleur et en fais une inspiration centrale pour ton look du jour. Tu choisis les produits, chacun dans la gamme de nuances identiques, ou presque, que tu souhaites. Tu définis ton thème de prédilection et fardes, deux, voire trois des zones ciblées, pour un total look monochrome qui devient par magie uniforme. Le secret : tu commences par le rouge à lèvres, que tu vas pouvoir utiliser sur les paupières et même en guise de blush. Et inversement, tu peux appliquer le blush comme ombre à paupière. Cela implique de détourner l’un ou l’autre de ces produits sachant qu’il est plus facile de détourner son rouge à lèvres sur les paupières car on n’aime pas trop porter des textures bizarres sur la bouche ! Résultat : ton visage en fondu enchaîné.

DE L’AUDACE

Les teintes les plus utilisées : le rose et ses déclinaisons, pour un look doux, féminin et romantique. Cuivré pour les yeux, rosé neutre sur les lèvres, éclatant sur les pommettes. Le marron et le bordeaux donne un style ténébreux. Bonne mine et teint frais avec des tonalités audacieuses d’orange vitaminé et fruité, tandis que le rouge, très tendance, se la joue provoc et sexy, sans excentricité comme le violet intense, glossy et iridescent. Si tu es d’humeur aventureuse, lâche-toi sur le black and white résolument artistique, fantastique, mystérieux. Mais évite le genre «clownesque», en laissant les tons de vert et bleu de côté.

allo maman bobo

allo maman bobo

ET SI ON TAILLAIT LE BOUT DE GRAS ?

Après avoir accusé les lipides de tous les maux, les voilà réhabilités. Non, ils ne font pas toujours grossir et ils ne rendent pas forcément malades. Alors, prends du gras, mais choisis le bien. Et tu ne vas pas en faire tout un plat !

La guerre du gras est terminée ! Pour bien faire, 35% des calories fournies par notre alimentation devraient provenir des matières grasses. Elles sont le carburant cérébral et musculaire qui sert à la fabrication de la plupart de nos hormones et de plusieurs cellules de défense de l’organisme. Elles constituent une réserve d’énergie indispensable et elles véhiculent nombre de vitamines. Le gras est incontournable. Evidemment, pas celui dans lequel baignent les frites, ou qui s’insinue dans les hamburgers et la junk food. Certaines graisses, les oméga 6 notamment, apaisent les processus inflammatoires. Une supplémentation en oméga 3, ces fameux acides gras essentiels facilitent même la fonte des graisses corporelles et freinent leur stockage. Si ils sont bénéfiques pour ta silhouette, ils ont aussi le mérite de faire baisser le taux de triglycérides et de fabriquer du bon cholestérol. Bref, sans les oméga, t’es raplapla, car les graisses se faufilent partout, mais sans elles, pas de vie.

VEILLE « AU GRAS »

Ne pas manger assez gras est préjudiciable à ton équilibre métabolique : peau sèche, rides précoces, vue défaillante, tendance au stress, à la neurasthénie. Encore faut-il faire le bon choix en éliminant les mauvaises graisses qui ne te font pas du bien. Mets la pédale douce sur les acides gras saturés (beurre, charcuterie, fromage…). Ils vont avoir tendance à se stocker dans le tissu adipeux, à favoriser le surpoids, le dépôt de cholestérol dans les artères et les maladies cardio-vasculaires. Limite également le gras «trans» manufacturé dont sont gorgés les plats cuisinés, les viennoiseries…

DU PIRE AU MEILLEUR

Le gras ne fait pas forcément grossir. Tandis qu’un seul gramme de lipides représente 9Kca, à poids égal, un aliment riche en protéines sera deux fois moins calorique qu’un aliment riche en lipides. Le bon plan : mange du bon gras, tu ne grossis pas, en étant vigilante à la qualité, mais aussi à la quantité de gras contenue dans ton assiette. Consomme du gras insaturé (amandes, huile d’olive…), polyinsaturés (maquereaux, sardines…), adopte le régime cétogène (avocat, graines, œufs…).

On a cru judicieux de différencier les graisses animales et végétales. Mais ce n’est pas si simple, car certaines graisses animales sont tout à fait recommandables, tels les poissons gras, tandis que d’autres d’origine végétale : huile de palme, tournesol, coprah (provenant de la noix de coco…) sont sur la sellette, car ils favoriseraient la montée du taux de mauvais cholestérol. L’huile d’arachide riche en acide oléique est bénéfique, mais elle contient également des acides gras saturés dont l’acide laurique. Tu n’en abuseras donc pas…

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